J’ai interpellé Philippe Jost, Président de l’Établissement public chargé de la conservation et de la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris, sur le risque de pollution au plomb.
Or, ce métal est un neurotoxique, reprotoxique et cancérigène. Plus de 5 millions de personnes meurent chaque année à cause des maladies dues au plomb. Malgré ce danger, aucune évaluation du risque sanitaire du ruissellement du plomb n’a été réalisé.
A quelques mois de la réouverture de la cathédrale, où sont les études sanitaires indépendantes ? Où en est-on des recherches pour assurer le recueil et le filtrage de cette eau contaminée ? Pourquoi avoir choisi le plomb alors que des alternatives existent ?